Se choisir & adopter le SLOWLIVING
Bonjour! Je me présente. Moi c'est Laurie. Je suis kinésiologue chez LA KIN ZEN & ACTIVE. Aujourd'hui j'avais envie de vous parler de mon expérience du SLOWLIVING, car j'ai tout récemment fait un grand changement dans ma vie en me choisissant et j'ai pu déjà constater les bienfaits de ce mode de vie sur mon quotidien.
Le SLOWLIVING
Est-ce que ça vous ait déjà arrivé d’avoir l’impression de courir partout et de ne pas avoir suffisamment de temps pour faire des choses qui vous font plaisir? On parle de plus en plus du SLOWLIVING et je suis convaincue que ce mode de vie gagne à être connu davantage.
Tout d'abord, le SLOW LIVING, comme le nom le dit, est une manière de vivre sa vie plus lentement et plus en conscience. L'objectif de cet approche est de prendre le temps de faire les choses (et être moins à la course en enchaînant les tâches/activités) et d'accorder plus d'attention aux petits détails du moment présent.
Ma décision de ralentir et d’être plus libre
Dernièrement, j’ai décidé de me choisir et de me lancer à mon compte en tant que travailleure autonome pour différentes raisons.
Tout d’abord, j’étais tannée d’être hyper occupée et de courir à droite et à gauche entre 2-3 jobs, travailler tard le soir et de n’avoir pratiquement aucun temps pour relaxer (sans parler du trafic qui me faisait perdre 3h de ma journée).
Ensuite, je travaillais 50h semaine, mon horaire était surchargé, je n’avais donc pas beaucoup de temps pour faire les choses qui me tiennent vraiment à cœur (lire un livre, m’asseoir dehors et écouter de la musique, boire mon café lentement en regardant la télé, etc.).
Au fond, pourquoi travaillais-je autant? Je ne suis pas la seule à surcharger son horaire j’en suis certaine! Vous êtes-vous déjà posé la question? Est-ce parce que nous nous sentons valorisés à travailler autant? Avons-nous peur d’avoir du temps et de ne pas savoir quoi en faire? Avons-nous peur de se retrouver seul avec soi-même? Parfois, il faut se pousser à bout pour réaliser que c’est trop!
J’ai donc décidé, il y a environ 1 mois de ralentir pour ne pas me brûler et de vivre plus lentement afin de profiter davantage des petits plaisirs de la vie. Mon point de départ était de partir à mon compte, car cela me permet d’être plus libre, de CHOISIR mon horaire, mes projets et mes priorités! Mon objectif à plus long terme était aussi de pouvoir ralentir et adopter un SLOW LIVING.
Avoir un mode de vie aligné à ses valeurs et ses objectifs
En tant que kinésiologue, je vous encourage toujours à vous choisir et là je sentais que de partir à mon compte était ce que je devais faire pour ME CHOISIR afin d’être heureuse et m’épanouir. Est-ce que ça veut dire que je vais travailler moins? Eh bien non, car j’ai pleins de projets en tête et d’objectifs au niveau professionnel. Ça veut simplement dire que je les réaliserai à mon rythme, à ma façon, au moment que je le désire et de manière alignée à mes valeurs. Le slow living ne veut pas dire de travailler 15 heures semaine et se prélasser le restant de la semaine (ça serait correct aussi si c’est ce que vous désirez!), ça veut dire de ne pas surcharger son horaire, ralentir au quotidien, profiter du moment présent et trouver son équilibre entre les différentes sphères de sa vie.
S’épanouir dans sa vie professionnelle et être heureux dans son travail c’est ESSENTIEL afin de se sentir bien dans sa vie personnelle également!
If you're not enjoying something, it's almost always because you're doing it too fast. -Donna Tartt
Avez-vous déjà eu cette réflexion? Sentez-vous que vous vivez sur le pilote automatique? Pensez-vous que vous pourriez ralentir un peu afin de profiter davantage de la vie?
Je vous laisse sur ces pistes de réflexion. Rassurez-vous, je sais bien que faire ces changements ne sont pas toujours faciles, c'est tout un défi! L'important c'est d'y aller à son rythme et de voir quelles sont vraiment nos priorités.
Je vous souhaite une excellente journée et j'espère que mon article et mon expérience vous auront motivé à vous mettre aux centres de vos priorités.
-Laurie Allard